Information officielle :

Dans la diplomatie et les relations internationales les États n’ont pas d’amis mais seulement des intérêts stratégiques.

Le Président de la République française Emmanuel Macron prépare un voyage diplomatique en République démocratique du Congo il faudrait souligner que la France fait partie des pays qui ont co-produits plusieurs rapports militaires d’observation aussi bien dans le cadre multilatéral (ONU et Union Européenne) que dans le cadre bilatéral pour dénoncer l’infiltration des FARDC à 99% par les militaires tutsis rwandais et exiger des réformes structurelles des FARDC !

Ci-dessous, plusieurs synthèses des rapports militaires multilatéraux et bilatéraux qui indiquent clairement l’état d’infiltration à 99% des Forces Armées de la République démocratique du Congo (FARDC) par l’état voyou du Rwanda.

Pourquoi est-ce que le Président de la République démocratique du Congo SEM Félix Antoine Tshisekedi privilégie t-il pour l’instant la voie diplomatique que l’affrontement militaire contre l’agression rwandaise ?

N.B. Le Président Félix Antoine Tshisekedi est réaliste il est parfaitement au courant de la réalité actuelle des Forces Armées de la République démocratique du Congo (FARDC) qui ont fait l’objet des rapports d’observations internes très bien documentés d’une part, dans le cadre multilatéral par l’ONU et l’Union Européenne.

Et d’autre part, dans le cadre bilatéral plusieurs rapports ont étaient produits à l’initiative de la République française, de la Belgique, des États Unis d’Amérique, de l’Afrique du Sud et de l’Angola qui indiquent tous clairement que les FARDC ne peuvent pas en l’état actuel gagner une guerre puisqu’elles sont infiltrées à plus au moins 99% par des militaires tutsis rwandais !

Après 24 années d’infiltration des Forces Armées de la République démocratique du Congo (FARDC) par des mercenaires tutsi rwandais, en absence des réformes militaires profondes qui sont en train d’être mise en place par SEM Félix Antoine Tshisekedi, les FARDC infiltrées dans tous leurs commandements intégrés par lesdits criminels à la loyauté partagés ne sont pas en état de gagner ni une guerre ni une bataille !

Ceux qui disent qu’il faudrait que les capacités opérationnelles des FARDC soient renforcées en moyens militaires immédiatement pour imposer la paix dans les provinces de l’Est sont dans l’erreur puisque les moyens qui seront mis à la disposition de cette armée maintenant risquent de se retrouver dans les mains des terroristes tutsi rwandais du M23 et du RDF.

Le Président Félix Antoine Tshisekedi hérite d’une armée infiltrée durant les 24 années de règne tout puissant du régime criminel raison pour laquelle il faut absolument engager des réformes qui sont en train d’être déployées au même moment que le renouvellement d’une nouvelle génération des militaires aguerris est en train aussi d’être déployés dans plusieurs centres de formation.

Quoique fasse et quoique dise Paul Kagame le Chef de l’état voyou du Rwanda il n’a plus des hommes des pailles au sein du cœur de pouvoir congolais.

Le Commandant suprême des Forces Armées de la République démocratique du Congo SEM Félix Antoine Tshisekedi a déjà gagné une paire de manche en neutralisant plusieurs officiers supérieurs étrangers ainsi que des politiciens criminels congolais qui opéraient au sein des FARDC et des institutions républicaines soit à travers la mise à la retraite anticipée, soit tout simplement par des arrestations comme c’est le cas pour Philémon Yav, Fortunat Biselele etc…

En effet, les Forces armées de la république démocratique du Congo (FARDC) sont actuellement dans un processus de reconstruction que mène avec détermination l’actuel commandant suprême SEM Félix Antoine Tshisekedi qui vient d’obtenir la levée de l’embargo pour achat des armes lourdes, de proclamer la 1ere loi de programmation militaire dotée d’un budget colossal qui dépasse un milliard de dollars américains et c’est après 24 années de règne tout puissant du régime criminel de l’afdl qui œuvrait pour l’affaiblir à l’intérieur.

Pour entreprendre des réformes structurelles profondes des FARDC plusieurs organisations gouvernementales s’y étaient attelées il s’agit notamment de la Mission de l’Organisation des Nations Unies en République démocratique du Congo (ONU) dotée d’un effectif total de 22 000 personnels fin 2009, de l’Union européenne qui avait dépêchée sa mission militaire EUSEC République démocratique du Congo et sa mission en 2006 EUFOR République démocratique du Congo et des partenaires bilatéraux comme l’Angola, l’Afrique du Sud et la Belgique qui essayèrent de créer une force viable capable de réaliser les missions qui lui sont confiées, la plus importante étant la sécurité et la stabilité pour la nation.

Cependant, la réussite de ce processus paraîssait incertaine, car plusieurs individus à la loyauté partagés faisaient tout pour empêcher que les Forces Armées de la République démocratique du Congo ne se reconstruisent sur des bases saines.

On note également un manque de coordination entre les différents donateurs internationaux.

Enfin, il est très important de souligner que les FARDC dans leurs configurations actuelles se constituaient en partie sur base d’une tentative de regroupement et d’intégration (le « brassage » et le « mixage ») au sein d’une structure de commandement unique des forces militaires tant du gouvernement légal de Kinshasa que des anciens mouvements de rébellion qui ont divisé le pays, en particulier depuis la seconde guerre d’août 2008.

Il s’agit en particulier des mouvements Maï-Maï, des troupes du RCD Goma, du MLC de Jean-Pierre Bemba.

De vieux antagonismes existent entre ces forces qui sont néanmoins censées opérer en harmonie au sein de l’armée et les tentatives récentes d’intégrer des éléments militaires sous l’obédience du Général Laurent Nkunda au Nord-Kivu ont montré la difficulté et les limites de cette stratégie.

Les conflits internes dans l’armée sont de plus en plus fréquents.

L’on démontre entre autres qu’il semblerait que les problèmes de corruption soit lié au mixage Insurgés – Forces gouvernementales.

Mais le problème le plus important ne se trouve pas là.

En dépit de l’aide internationale, la République démocratique du Congo, auparavant le Zaïre, au vu du profond sous-développement dans laquelle elle s’était enfoncée, n’avait pas les ressources suffisantes pour se doter d’une armée régulière, bien gérée, dont les forces sont casernées.

Ce défi des ressources financières vient d’être levé avec le nouveau budget d’environ 2 milliards de dollars américains que le Président Félix Antoine Tshisekedi vient de mettre à la disposition des FARDC dans la loi budgétaire de 2023.

L’impossibilité de survivre sans moyens financiers suffisants amenait les FARDC à vivre sur le dos de la population par le biais d’exactions et de spoliations constantes, principalement en zones rurales.

La paysannerie, déjà la partie la plus pauvre de la population, paye le plus lourd tribut alors qu’elle est celle qui devrait être protégée par l’armée qui exerce en principe un rôle de maintien de l’ordre public, aux côtés de la police nationale.

Durant les 24 années chaotiques de règne tout puissant du régime criminel de l’afdl au Congo on assisté donc à un retour à la situation que le pays avait connue à la fin de l’ère mobutiste où les militaires étaient devenus la crainte majeure de la population.

La première mission des Nations Unies la MONUC s’était vue donc obligée dans certains cas de protéger les populations civiles des violences qui étaient le fait des forces armées.

Cette dramatique évolution s’est encore aggravée par le nombre croissant de violences sexuelles perpétrées par les militaires dans les campagnes dans un contexte de relative impunité, les poursuites engagées contre les auteurs de ces sévices par la juridiction militaire étant très limitées au regard de l’étendue du phénomène.

La première loi de programmation militaire que vient de mettre en place le Président de la République démocratique du Congo SEM Félix Antoine Tshisekedi et le nettoyage en cours des FARDC pour extirper tous les criminels étrangers et les officiers supérieurs congolais acquis à la cause des états voyous frontaliers des provinces de l’Est est vraiment le début de la construction d’une grande armée républicaine au cœur de l’Afrique !

By Joel Konde

Joel Konde pour vous informé

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