L’Est de la République démocratique du Congo (RDC) demeure en proie à l’insécurité. Ancien candidat à la présidentielle de 2018, Martin Fayulu dénonce un plan macabre contre cette nation au cœur de l’Afrique.
Vaincue par les forces armées de la RDC en 2013, la rébellion du M23 ( Mouvement du 23 mars Ndlr ), resurgit au Nord-Kivu. Ces derniers jours, des combats se sont accentués. Les populations locales dénoncent l’implication du Rwanda. L’opposant Martin Fayulu condamne le silence du gouvernement congolais qu’il qualifie ” d’illégitime “.
” Guerre dans la partie Est de la RDC. Les populations locales et les FARDC pointent du doigt l’agresseur, mais le gouvernement illégitime congolais affiche un silence complice. Les Congolais et le monde entier ont besoin de connaître la vérité “, a indiqué le président de l’ECiDé.
Le Conseil de sécurité a appelé tous les groupes armés opérant dans l’Est de la République démocratique du Congo à participer, sans condition, au processus politique initié par le conclave régional des chefs d’État sur la République démocratique du Congo à Nairobi, au Kenya.
Dans une déclaration faite mardi, les membres du Conseil de sécurité ont demandé à tous groupes armés éligibles à déposer les armes à travers le Programme de Désarmement, Démobilisation, Relèvement et Stabilisation Communautaires (PDDRC-S).
Afriquactu