Les travaux de la Commission politique, administrative et juridique (PAJ) sur la proposition de loi électorale se poursuivent, ce jeudi 19 mai 2022.
Il s’agit de faire un examen approfondi ( article par article) des grandes options qui ont été levées lors de la plénière du 12 mai, a précisé le président de cette commission, Augustin Mulumba.
” Dans la méthodologie de travail, Augustin Mulumba a fait savoir que la commission va s’atteler sur les thématiques retenues par la plénière lors du débat sur la levée des options de la proposition de loi portant organisation des élections présidentielle, législatives, provinciales, urbaines, locales et municipales “, rapporte la cellule de communication de l’Assemblée nationale.
La Nouvelle société civile congolaise (NSCC) pense que le processus ( en cours ) de la réforme de la loi électorale menace ” l’intégrité et la transparence ” des élections de 2023. Le président de cette structure, Jonas Tshiombela craint un ” rissque très élévé de déboucher sur les contestations “. Ainsi, appelle-t-il, le députés nationaux à privillégier les principes de transparence et d’inclusivité.
Pour Lamuka, FCC, Ensemble pour la République, les laïcs catholiques et protestants, il faut un consensus pour des élections crédibles et apaisées.
Dans cette situation, la Monusco a laissé entendre que ” la révision de la loi électorale au Parlement représente l’une des dernières opportunités de renforcer les mécanismes de transparence et de redevabilité susceptibles de garantir des élections de qualité et de restaurer, au moins en partie, la confiance entre les parties prenantes “.
Afriquactu