Le DDR, base des négociations à Nairobi entre Félix Tshisekedi et les groupes armés étrangers est un mécanisme spécifique qui signifie Démobilisation des groupes armés, Désarmement des ces groupes armés et enfin Réinsertion ( DDR) de ces groupes armés dans les institutions de la République notamment dans les services de sécurité l’armée et la police en leur réintégrant dans l’armée et la police ou dans les services de sécurité du pays, ou alors les permettant de se constituer en parti politique ou adhérer dans des partis politiques de leur choix, dans la seule finalité d’éradiquer les groupes armés qui gangrènent l’Est de la RDC.
Bien que ce mécanisme de DDR soit salutaire et efficace à première vue, il est aussi une stratégie sécuritaire d’infiltration et d’occupation utilisé par plusieurs experts de la sécurité internationale comme cheval de Troie pour faire semblant de satisfaire son adversaire en déposant les armes mais tout en l’infiltrant de l’intérieur par ruse et malice intégrant la partie adverse.

À la base le DDR est un programme initié par les nations unies au travers l’accord cadre d’Addis-Abeba dans son point 5 et 6 des engagements de la RDC ceux de la réforme structurelle des institutions de l’État, et de la promotion de la réconciliation nationale entre acteurs politiques et les groupes armés au sein d’un dialogue politique sous surveillance et médiation des nations unies et l’union africaine des organisations sous régionales Sadc Cirgl afin d’accoucher à un gouvernement d’union nationale qui scéléra la fin de la guerre à l’Est de la RDC.

Exigé depuis sous Kabila, dans plusieurs résolutions des nations unies sous l’accord cadre, Kabila et kagame voyant le but perturbateur de leur plan d’occupation et d’insécurité à l’Est, ils se sont convenus d’abord de convoquer un dialogue de leur propre format tout en corrompant certains hauts placés des institutions internationales sensés surveiller ce dialogue et ce mécanisme notamment les nations unies, l’union africaine, la Sadec et la Cirgl en imposant son propre médiateur de l’union africaine à l’époque Mr Edem Kodjo qui en venant en RDC a transformé le dialogue demandé dans la résolution 2098 2147 des nations unies à un dialogue purement politique se focalisant sur les élections de 2018 et excluant la problématique de sécuritaire des groupes armés telle que exigé dans l’accord-cadre. Mais pour à la fin affirmer que ce dialogue était bel et bien celui de l’accord-cadre.

Le problème sécuritaire qui devait voir les groupes armés aussi participé au dialogue avec les acteurs politiques sera relégué uniquement au gouvernement congolais Kabila à l’époque qui en décidera du sort avec le Rwanda sans impliquer la surveillance de la communauté internationale. C’est alors qu’ils feront aussi nombreux négociations avec les groupes armés étrangers notamment le M23, le FDLR aut autre généralement Rwandais les démobilisant les Désarmant et les Réinserant dans l’armée congolais, la police congolaise, les services de renseignement congolais et aussi dans les institutions politiques congolaises pour pas servir la cause patriotique de la RDC mais celui du Rwanda en étant les yeux, les oreilles et la bouche de Kagame dans les institutions stratégique de la RDC, tout en provoquant encore la naissance des plusieurs groupes armés étrangers qui feront la guère à la RDC déjà infiltré de l’intérieur afin de les maximiser d’avantage en RDC chaque fois qu’un semblant de silence s’effectuera pourque le Rwanda continue de contrôler la RDC toujours insécurisée.

Kabila partie, Tshisekedi arrivé dans la même logique de son frère et patron Kagame, lui aussi pour des intérêts de protéger son pouvoir volé, respecte le même mécanisme dévié des DDR, vu que les enjeux du moment exigent une imminente arrivée des réfugiés étrangers islamistes de Londre au Rwanda et en RDC particulièrement à Goma et minembwe, ces groupes armés qui majoritairement ont une tendance religieuse islamique avec la monté en force de l’islam au Rwanda, permettra au Rwanda d’importer des extrémistes qui auront la seule mission d’étendre l’insécurité au nord Kivu déjà immobilisé par l’État de Siège jusqu’à Iturie aussi immobilisé par l’État de Siège afin qu’une grande rébellion islamique s’étende de l’Est de la RDC jusqu’à l’Ouest notamment la capitale Kinshasa, qui justifiera nombreuse situation qui obligera les acteurs politiques au pouvoir a décaler la tenue des élections.
Un plan machiavélique contre la RDC depuis Londre dont la compatriote congolaise d’origine Debora Kayembe a dénoncé dans sa conférence pour alerter les congolais et le monde sur l’obscurité de l’acceuil au Rwanda de ses réfugiées islamistes dont le Rwanda veut cajoler au prix de 60 millions le mois.

Raison pour la qu’elle a Nairobi, sous c’est plutôt la surveillance de l’AEC dont Kagame et Museveni sont les grands tenants ont voulu s’assurer de la tenue de ses négociations dont Félix Tshisekedi a signé la mise en application du DDR qui va faire en sorte que ces groupes armés a l’Est ne soit plus combattus par l’armée congolaise mais plutôt les reintègrent aussi dans l’armée congolaise, sauf que en ce moment là, ces groupes armés qui sont en Nairobi ne sont toujours pas précisément énumérés et identifiés dans le but réserver un grand nombre aux réfugiés islamistes qui sont en train d’arriver au Rwanda et seront immédiatement incorporer dans le nombre des groupes armés qui vont bénéficier du DDR. Voilà pourquoi Kagame n’est plus revenu à ces négociations mais à envoyé son ministre des affaires étrangères qui était allé négocié le plan des réfugiés islamistes à Londre, a négocié personnellement à Nairobi avec les groupes armés pendant que lui Kagame est allé discuter du contour de la situation avec Museveni en Ouganda pendant que Félix Tshisekedi était toujours à Nairobi avec le ministre des affaires étrangères Rwandais.

Ces négociations avec les groupes armés a Nairobi n’est pas une réussite ou victoire pour les naïfs, mais augurent plutôt un terrible danger qui se prépare sous les yeux des congolais.

Apprêtons- nous.