Déjà en conflit historique pour le contrôle du sahara occidentale depuis des lustres, la tension vient d’éclater entre L’Algérie et le Maroc à causes des prises des positions des alliés et surtout des partenaires sensés demeurer neutre sur les questions africaines.

La reconnaissance de part l’administration Trump de la souveraineté du Sahara occidentale au Maroc avait provoqué un conflit sans précédent entre les deux États maghrébins à cause du soutien diplomatique d’Israël au Maroc dont L’Algérie, la Lybie et l’Egypte qui ont toujouts été entièrement contre l’hégémonie d’Israël dans leur région, préférant tenir au cause de l’Iran.
À la place de s’entretuer, ses États de la sous région maghrébine se sont fier à l’arbitrage fraternel de leur frères africains notamment en demandant l’arbitrage de l’Union Africaine d’abord sur ces questions, mais malheureusement le président de la conférence des présidents l’UA notamment l’actuel président de l’Union Africaine n’a plus la confiance de ses paires suites à ces prises des positions en faveur des USA et D’Israël dans une région africaine purement multi tendancieuses en Afrique du nord précisément le Maghreb est majoritairement musulman et anti israël.

Déjà par la Faiblesse et l’échec de son albitrage sur le conflit du barrage de la renaissance entre l’Egypte et L’Éthiopie obligeant ainsi ces États à le décharger de ce dossier pourtant purement africain pour solliciter l’arbitrage de d’un État d’Asie purement musulman l’Arabie Saoudite, avait marqué le manque de confiance que nombreux États Africains accordent à l’actuel président de l’Union Africaine dont ils estiment n’avoir aucune vision idéologique panafricaine mais plus un suiviste totalement américain. Chose qui a motivé nombreux États mêmes de L’Afrique centrale et Australe à n’accorder aucune chance à sa diplomatie pour imposer son candidat au poste de secrétaire exécutif de la SADC dont tous les 25 États sur 26 n’ont voté que pour le candidat du Botswana laissant seul la RDC voter pour son candidat.
Pour ne le laisser se contenter que du poste rotatif de la présidence de la SADC après Kabila en 2009 qui d’office doit revenir aux pays du centre car actuellement détenu par les pays australes du sud.

Le mécontentement africain comme si cela ne suffisait pas, le président de l’Union Africaine Mr Félix Tshisekedi avait pris unilatéralement à l’insu de l’avale du consensus de l’organisation régionale qu’elle préside, la décision d’octroyer à Israël le statut de membre observateur de L’Union Africaine qui a indigné la majorité des États Maghrébins à part bien attendu le Maroc qui s’affichait pro israël. c’était la désapprobation totale de L’Algérie qui a mené une contre offensive pour faire revenir l’Union Africaine à sa décision.

Le conflit brûlant du Sahara occidentale dont l’Algérie accuse l’implication d’Israël et des USA, a poussé carrément l’Algérie a rompre les relations diplomatiques avec Rabat après qu’elle ait trouvé à nouveau l’arbitrage de l’Union Africaine pro Israëlien sur la décision de son président en exercice Mr Félix Tshisekedi.

Le danger à se poser que deviendra la région africaine si ces États n’ont plus confiance à la neutralité de son organisation pour prendre des décisions drastiques, pourtant en relations internationales lorsqu’on est membre d’une organisation on cède une partie de sa souveraineté à l’organisation qui doit décider en dernière essors ?

Un balai diplomatique de haut niveau est prévu dans les jours qui suivent en RDC et dans toute l’Afrique pour apaiser la tension dont la RDC par son leadership pourrait être le responsable.

By Joel Konde

Joel Konde pour vous informé

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