C’est ce qui se raconte dans le département d’État américain, et au Vatican.
L’ambiance courtoise jusqu’ici entre les deux hautes institutions diplomatiques de l’Amérique et du Saint-Siège change du jour en jours et devient fermement sereine sur les positions communes à prendre sur les relations bilatérales avec le gouvernement congolais en rapport avec le processus électoral.
Les profanations des lieux objets sacrés catholiques ajoutées les insultes et menaces des proches du pouvoir en place en RDC contre les l’église catholique et l’ECC sur sa non acceptation du candidat kimbanguiste pro Tshisekedi Denis KADIMA ont atteint le chemin de non retour en arrière, se raconte t-on au Vatican.
Les États-Unis qui jusqu’à ce jour refusent catégoriquement une rencontre entre le président congolais Félix Tshisekedi de surcroît président de l’Union Africaine avec le président américain Joe Biden pour défaut de légitimité et respect des engagements pris notamment arrêter et livrer Joseph Kabila et tous ses proches sanctionnés, ne trouve plus utile de continuer à soutenir un président spécialiste des scandales et dépassements budgétaires, et veut voir un processus électoral véritablement indépendant sans influence du pouvoir en pour se tourner la page Tshisekedi-Kabila et font pression aux confessions religieuses et a l’assemblée nationale de changer le choix de Mr Denis KADIMA jugé proche de Félix Tshisekedi.
De l’autre côté du Vatican, les rapports ne cessent de s’ajouter sur les menaces et dangers que courent l’église catholique sur sa position contre l’opulence que vive les gouvernants actuels en RDC cherchant comme le précédent pouvoir de Joseph Kabila à se maintenir contre la volonté du peuple.
Fidèle à ses princes historiques, l’église catholique avec l’ECC de rester fermement opposée à la démarche de Mr Félix Tshisekedi de contrôler la CENI et se donner un second mandat avec un bilan pire que mitigé, d’où l’implication du lobbying catholiques au niveau international avec l’avantage que l’actuel président américain est lui-même un fervent pratiquant catholique.
Pour marier les deux positions et barrer la route à Félix Tshisekedi qui en soit ne fait que l’apologie de l’occupation rwandaise en RDC.
Voulant s’en prendre aux intérêts et établissements éducationnels des catholiques par cette menace du ministre de l’éducation de désactiver les enseignements en grève, a fait déborder la vase de colère du Saint-Siège estimant que c’était une menace de trop qui méritait une réponse conséquente notamment en relançant les marches de protestation contre la nouvelle dictature qui s’installe au pays et la volonté de se maintenir contre la volonté du peuple. D’où l’appel solennel du cardinal Embongo à tous les fidèles catholiques et congolais en général de se lever et barrer la route à Félix Tshisekedi et son pouvoir.
Comme si cela ne suffisait pas, l’envoûtement de l’opprobre de Genève étant réel, le malheur va venir lorsque pour les mêmes intérêts de demeurer au pouvoir, Mr Félix Tshisekedi via son président de l’assemblée nationale va inviter la Russie et la Chine pour s’opposer à la démarche occidentale d’exiger le retrait du candidat pro pouvoir Mr Denis KADIMA, s’opposant à l’ingérence dans le processus électoral.
Et pire estimant que l’occident était trop conditionnel pour laisser venir les investisseurs et lui donner des véritables fonds consistant, Mr Félix Tshisekedi va lui aussi comme son prédécesseur se détourner de l’occident pour se tourner vers la ligue Arabe pour chercher des fonds contre à la Chine sous Kabila, pourtant tous des ennemis géopolitiques de des USA.
Chose qui a poussé les USA notamment le département d’État américain à suggérer d’urgence une invitation à la maison Blanche du président Kenyan Kenyatta parrain de l’accord qui a amené Félix Tshisekedi au pouvoir avec qui il garde des bonnes relations, pour l’entendre sur les véritables motivation de Félix Tshisekedi qui se confie désormais à leur ennemis.
Tellement des révélations et des dissertations quant à ce, la maison Blanche va immédiatement instruire le département d’État à ordonner à l’ambassadeur américain à en RDC d’aller en toute urgence voir le président de l’église kimbanguiste à Nkamba pour lui dire clairement de retirer son candidat à la CENI, chose qui fait polémique à Nkamba et très peur à la présidence de la République mais dont l’ivresse du pouvoir de son président n’est plus à moraliser.
Et après un long débriefing entre la maison Blanche et Vatican, le président américain va opter pour la proposition du Saint-Siège à se rendre à Rome au Vatican pour une séance de travail hautement stratégique sur la situation en RDC.
Les grandes décisions se prennent en cachette dit-on. Et d’après le département d’État, le président congolais Félix Tshisekedi vient de poser un acte de non retour en arrière, les grandes décisions se prendront et se manifesteront des les jours à venir.